participant.e.s : Hélène, Benjamin (APARS), Vincent, Houari, Cyprien (EEGC),
Initiés : Jacques, Fabricio, Grégoire, Margaud

 

Départ en voiture 18h30 de Montreuil avec Cyprien et Fabricio

Le camping prévu n’accueille plus après 20h, du coup bivouac à côté de la combe, parfait pour se lever tôt le lendemain et aller équiper le trou.

Vincent se lève à 6h et va équiper le gouffre de la combe aux prêtres (entrée carrière) avec une corde de C100 pour aller juqu’en bas de l’éboulis (une C65 suffit pour descendre en bas du P20.

Nous revenons petit-déjeuner avec les autres et nous croisons le spéléo club de Clamart qui se dirige vers la combe et qui a eu la même idée.

Benjamin et Hélène initient Jacques Margaux et Grégoire avec une corde accrochée à l’arbre pendant que nous patientons avec l’EEGC que le SGHS équipe en double et descend dans la combe.

Puis Fabricio ouvre la descente, suivi de Cyprien et Houari.

Arrivés en bas nous faisons une petite séance de photo mode pour Fabricio. Nous suivons la rivière jusqu’au siphon. Nous rebroussons chemin pour aller à la rencontre des APARS. Benjamin nous dit qu’il y a une chatière d’une bonne dizaine de mètres qui donne sur la suite du réseau. Arrivé dans un éboulis, nous prenons la galerie nord jusqu’à un conduit qui devient de plus en plus petit jusqu’à devenir mega étroit, nous croisons les voix de l’autre spéléoclub qui nous dit qu’on s’est gouré. (encore)

Nous revenons sur nos pas et nous allons finalement à droite de l’éboulis vers la galerie des merveilles, c’est le bon chemin pour aller vers la cascade. Nous passons les vires et le pont de singes. Dernier éboulis, on mange avant la cascade que l’on entend. Pause pipi à la cascade puis retour et Hélène déséquipe.

Coup de bol, apparemment il y a de la place dans le gîte, nous y allons la nuit de samedi à dimanche. Le soir tout le monde est fatigué, personne n’envisage de descendre le lendemain.

 

Dimanche 6h, Vincent se lève et se décide à enkiter pour le creux du Soucy. Je réutilise la même C100 que la veille avec une dizaine de mousquetons.

Cyprien m’accompagne et fait un très bon assistant d’équipement.

Arrivés en bas, il y a de l’eau partout, on cherche la salle des œufs introuvable et nous remontons, Hélène déséquipe. Envie d’y retourner avec un petit canot.