interclub Cds94

Participants : Benjamin (APARS), Françoise (APARS), Hélène (APARS), Richard(APARS), Houari (EEGC), Diane(USF), Martial(USF), Eyerson(USF), Stephane(USF)

 

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Team bivouac

Benjamin, Eyerson, Hélène, Houari ,Richard et Stéphane

Hélène : Vendredi soir nous prenons la route vers 18h, Stéphane, Eyerson, Richard et Hélène. Après une sortie de Paris un peu difficile nous voilà sur l’A5, ça roule, on en profite pour faire la pause casse-croûte avant d’arriver. Vers 21h on arrive sur le chemin de la Pérouse. On monte en voiture déposer les kits devant le grand pré puis on redescend garer la voiture à l’endroit consacré. Après quelques égarement on se retrouve tous devant le pré, et on se répartit les nombreux kits (cordes, bivouac souterrain, affaires pour cette nuit). J’appréhende de ne pas retrouver le hangar de nuit mais nous visons plutôt juste et nous parvenons sans peine à destination. On s’installe pour la nuit, Richard et moi sous le hangar, Steph et Eyerson sous tente.

Des news nous parviennent de Houari et Benjamin : ils vont arriver tard. Ils dormiront dans la voiture de Houari et nous rejoindront pour le petit déjeuner.

On « enkit » avant de se coucher, avec Richard on a du mal à trouver le sommeil…

Après une nuit assez fraîche on prépare le petit-déjeuner pour nous et nos invités. Qui tardent un peu, l’organisation n’est pas aisée de leur coté avec les kits à triballer à pied sur le chemin. Vers 9h tout le monde est là pour partager le café et vers 10h je commence à équiper. Le début de la progression est aisé malgré les kits : la main courante sur le toboggan puis le regard de Benj ne posent pas de soucis. Ça se corse un peu avec le puits de 40m, la fiche d’équipement est très claire et pourtant j’ai posé une déviation qui n’était probablement pas nécessaire du coup il me manque de quoi faire la suivante. Détail vite résolu car nous avons suffisamment de matos en rab. Au niveau du pont de singe nous échangeons : Benjamin continue d’équiper et je prend son kit. Le puits qui suit est un peu plus technique, il faut s’aider des étriers en place, réussir à passer la déviation qui est en tension et en bas ça pendule un peu. Tout ça plus le fait que les boucles de corde de Benjamin sont un peu justes par peur de manquer de longueur de corde rend le passage délicat avec le handicap des kits de bivouac. On enchaîne sur la vire, pas si facile non plus, et enfin on atteint le dernier puits qui descend tout droit en bas de la cathédrale.

On décide de ne pas faire de vraie pause et de déjeuner à la salle du Putsch car nous avons pas mal de chemin si on veut atteindre le Fakir. Le plan est de poser les kits de bivouac au niveau du boyau des billes, à environ 1h, puis de faire l’aller-retour au Fakir et de revenir au bivouac. On commence notre progression en essayant d’avoir un bon rythme, on passe les quelques endroits exposés équipés en fixe, on arrive à la galerie de l’as de pique, on continue… Et on se rend bientôt compte qu’on a loupé notre spot de bivouac. On décide alors de continuer jusqu’à la salle du Putsch, en guettant si d’ici là un endroit nous semble approprié. On y arrive sans avoir trouvé.

Tout en profitant (enfin!) de notre casse-croûte, nous revoyons notre stratégie. Deux options s’offrent à nous : aller bivouaquer au Fakir, on a fait la moitié du chemin, ou laisser nos kits ici au Putsch, faire l’aller-retour, les récupérer et s’installer au boyau des billes. Les avis sont partagés. Bientôt Martial, Diane et Françoise nous rejoignent.

Notre groupe se scinde en deux : Eyerson, Stéphane, Benjamin et Hélène prennent leurs kits et bivouaqueront au Fakir. Houari et Richard intégreront le groupe de Martial, Françoise et Diane pour s’avancer un peu, idéalement jusqu’à la galerie de la porcelaine, puis revenir et bivouaquer à la cathédrale.

 

Bivouac Cathédrale pour les autres

Houari, Richard

Richard : À la pause déjeuner, nous retrouvons l’équipe composée de Diane, Françoise et Martial qui compte aller jusqu’à la salle des porcelaines et rentrer.

Houari propose pour ceux qui le veulent de partir avec eux et de dormir à la cathédrale. Je décide d’aller avec eux.

Arrivé à la cathédrale, Françoise et Nathalie remontent à la surface. Après avoir inspecté le bivouac à la cathédrale, nous décidons de visiter la salle derrière la cathédrale. La salle est bien concretionnée.

Le terrain est plus plat que celui du bivouac de la cathédrale, nous décidons de dormir ici, après avoir mangé et s’être ravitaillé en eau grâce à un jerricane.

Le matin, nous décidons de remonter à la surface. Après quelques difficultés, nous sommes bien contents de voir le soleil.